Aucune entreprise n’est à l’abri d’un cash drain.
Chaque semaine, nous observons ce phénomène. Il se positionne et peut se remarquer à n’importe quel niveau de solde d’exploitation. Mais ce n’est pas évident.
Il est parfois imperceptible, puis, comme un cancer, il se développe et détruit une portion sensible du fruit du travail de l’unité productive…
Quelles sont les erreurs courantes ?
- De ne réagir qu’à la baisse du profit global
Même quand le profit augmente, on est pas à l’abri d’un cash drain empêchant que cette augmentation soit encore meilleure.
- De ne réagir que par comparaison de pourcentages croissants de dépenses de période à période. Cela n’est pas toujours pertinent.
- D’être persuadé que l’on est à l’abri de ce genre de dérive. Refuser ou ne pas ressentir un besoin de faire le point ou remettre en question, sa gestion opérationnelle.
- D’avoir une confiance aveugle vis-à-vis d’une gestion humaine normalement sans faille.
- De considérer que c’est acquis que rien ne peut arriver de fâcheux